Vivent les vacances !

par Yome NetSan @ 22 avril 2010

Un petit Pix'n Love sous le soleil marocain...

Premiers albums et voyage poussièreux

par Yome NetSan @ 20 avril 2010

Depuis de très nombreuses années, le premier album acheté lors d'une nouvelle année est pour moi une petite fête.

La date

La première chose que je faisais était de retourner le CD et de chercher le petit © 1996. Alors forcément, ce petit rituel s'est perdu au fil des ans avec l'arrivée des téléchargements, légaux ou non. Il arrive aussi plus ou moins tôt dans l'année. Soit parce qu'il n'y a pas d'album qui m'intéresse les premiers mois, soit parce que je ne les achète pas immédiatement (oui, ça arrive !).

 

Téléchargements de 2010 :

Vrais CDs de 2010 :

  • Tété : Le Premier Clair de l'Aube
  • Ben Harper and Relentless7 : Live from the Montreal International Jazz Festival
  • Bioshock Soundtrack (sortie en 2007 mais reçu en 2010)
  • Bioshock 2 Soundtrack (pas encore écouté, j'attends de finir le jeu)
  • k's Choice : Echo Mountain
  • Sarah Bettens : Nerver Say Goodbye (sortie en 2009 mais reçu en avril 2010)
  • Gaëtan Roussel : Giger
  • Sophie Hunger : 1983

Certains de ces albums vont me suivre, si tout va bien, au Maroc demain. Si tout va bien car, bien que cela à l'air d'être bon, les cendres risquent de remplacer le sable...

 

Mais qui dit vacances au soleil, dit aussi musique, jeux et lectures.

En 2006, lors de mon premier voyage dans ce pays, je jouais au Sodoku du Pr. Kawashima, à Tetris DS, Metroid Prime Hunters et à Tony Hawk's American Sk8land sur une DS Lite toute neuve. Cette année, je pars avec un Zelda à finir et 2 jeux français (entre autres, car oui, un linker c'est bien pratique en voyage).

 

Côté musique, j'écoutais du Benevento/Russo Duo sur mon HI-MiniDisc et du Dionysos (Monsters in Love) dans la voiture. Demain, les nouveautés du moment, donc, et d'autres disques plus vieux en "hommage" au précédent voyage (Belle Maman avait adoré Monsters in Love, donc j'amène la suite et l'album de Babet).

 

Je prends enfin de la lecture avec les Légendes Urbaines de Pix'n Love et les Chroniques de Player One. J'aurais aussi la collection de BD de Belle Maman (la Quête de l'Oiseau du Temps, Lanfeust, etc.)

lassé de la vue de votre fenêtre ?

par Caribou @ 17 avril 2010

voici une solution...

C'est vrai que c'est une installation un peu lourde (et coûteuse) et qu'il faut toujours un capteur, mais un jour on en aura plus besoin.... genre en détournant la captation du Projet Natal, ça pourrait se faire. Bref, pouvoir avoir une fenêtre ouverte sur le système solaire, moi je cours !

Ok, le lien avec le thème du site est mince, mais la techno se base sur les travaux de Jonny Chung Lee qui avait transformé la Wiimote en simulateur de headtracking. Souvenez vous...

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Nintendo Wii

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Pizza, Tanks and Code

par Yome NetSan @ 13 avril 2010

Pour la suite de mon apprentissage du développement de jeux vidéo, j'avais plusieurs idées en tête pour amélioré mon prototype commencé la semaine dernière :

J'ai du pain sur la planche !

 

Changement de thème

Les pizzas c'est marrant mais ça donne faim. Je ne sais pas encore vers quoi mon jeu tend au niveau gameplay ou visuel, mais j'avais envie de quelque chose de plus "futuriste". Pour autant, je voulais quelque chose avec des gros pixels qui tachent, c'est mon côté retro. J'ai donc réfléchi à ce que je pourrai trouver comme décor de jeu, genre survol de différents environnements et j'ai pensé à la grande map de Xevious. Je l'ai trouvé assez facilement sur le Net et j'en ai découpé un rectangle de 240 x 320 pixels (en verra plus tard pour faire défiler le fond).

Bon, tant que j'y suis, je vais rester avec le thème Xevious et prendre les sprites du jeu original. Je les trouve aussi et je choisi le Galaxian pour le joueur (normal) et le tank pour les éléments qui tombent.

Par contre, je ne fais pas gaffe à la taille dans un premier temps. Il se trouve que chaque pixel d'origine faisait ici 4 x 4 ! La taille à l'écran était donc beaucoup trop grosse à mon goût. Je réduit tout ça aux dimensions originales et là, les pauvres pixels sont perdus au milieu d'un écran bien plus grand qu'il ne l'était à l'époque ! J'ai donc fini par garder une proportion deux fois plus grande pour arriver à un résultat agréable.

J'ai importé ses nouvelles textures en les rangeant bien à leur place dans un dossier "Sprites". J'en ai profité aussi pour remplacer toutes les références à pizza et à playerdans le code par tank et galaxian.

Ca peut paraitre une bonne idée d'avoir des noms de variables ou de classes explicites. Mais c'est dans le cas normal où l'on sait où l'on va ! Ce n'est pas mon cas et, depuis, j'ai pensé à ce que serait au final ce jeu et ce ne sera pas un remake de Xevious. Je vais donc avoir à changer encore une fois tous les noms de variables...

En attendant, cette version se nomme XevYome !

More

Quand la musique me dégoute...

par Yome NetSan @ 12 avril 2010

Le nouvel album de k's Choice, Echo Mountain, stigmatise plusieurs choses qui sont arrivées au monde de la musique et du commerce ces dernières années.

Acheter un album, la galère

Le groupe est belge et plutôt connu, surtout en Europe. Et pourtant, l'album sorti le 26 mars est introuvable en magasin en dehors de la Belgique. Vive la mondialisation ! L'exception en France est le Virgin Megastore des Champs Elysées à Paris... Pas terrible comme distribution ! Que les commerçants ne viennent pas se plaindre qu'on achète par Internet !

Internet justement. Il y a 3 moyens de se procurer un album sur ce merveilleux média : l'acheter dans une boutique en ligne (la boutique officielle, fnac.com vend le CD qu'ils n'ont pas en magasin, freerecordshop.com, etc.), l'acheter en téléchargement (iTunes ou la boutique officielle mp3 de Sony) ou, bien entendu, le télécharger illégalement.
Pour ma part, il est hors de question d'acheter un album en téléchargement s'il existe en disque "réel". Je suis collectionneur, donc il me faut l'objet, avec la pochette, les paroles, etc.
Le commander sur une boutique en ligne prend du temps et l'album est généralement envoyé le jour de la sortie officielle, voire plus tard.
Résultat des courses, si on est fan et que l'on veut écouter l'album le jour de la sortie, il ne reste plus que le choix de le télécharger illégalement, en attendant l'arrivée du CD par la poste. Il ne faut pas s'étonner si de plus en plus de monde se passent de l'étape "attendre l'arrivée du CD par la poste"...

Le téléchargement, la facilité

Pour autant, je ne cautionne pas le téléchargement illégale sans acheter l'album. Alors oui, cela permet de "tester" sans risque (c'est pareil pour les jeux vidéo). Mais quand on aime, il faut acheter, sinon c'est la fin des haricots. Comme le disait Pastagames lorsque leur jeu Maestro! Jump in Music est apparu en piraté sur la toile, si l'on veut voir un autre jeu de leur part dans le futur, il faut l'acheter. Sans ça, ils n'auront jamais les moyens d'en faire un autre. Ca doit faire rager quand même de voir un travail de 3 ans arriver en libre-service comme ça 2 jours après la mise en vente...

Dans la série des curiosités des boutiques en ligne, l'album est plus cher sur la boutique officielle que chez les concurrents ! Cela s'est vérifié pour Echo Mountain mais aussi pour Joy de Phish. Et je ne parle pas des frais de port qui sont généralement offerts sur des grands boutiques comme Amazon et très chers dans les boutiques officielles...

Trop de versions tue l'achat

Echo Mountain a aussi été emporté par une nouvelle mode, la multiplication des éditions différentes. Pour ce disque, il en existe 5 :

  • Version standard, 2x 7 morceaux
  • Version Digipack, 2x 7 morceaux
  • Version Exclusive Free Record Shop, boitier standard, 1 morceau bonus : Show me how it's done
  • Version Exclusive téléchargement, pas de boitier, 1 morceau bonus : Time is a Liar
  • Version pré-commande iTunes, pas de boitier, 1 morceau bonus : Come live the life (semi-acoustic)

La version idéale (digipack et tous les morceaux bonus) n'existe pas. Il faut donc passer plusieurs fois à la caisse si l'on veut tout avoir. Autant il est possible d'acheter Time is a Liar toute seule (c'est ce que j'ai fait), autant il n'y a pas trop de choix pour les autres bonus (le bonus d'iTunes n'était disponible qu'avant la date de sortie et pour l'achat de l'album entier).

Le summum a été atteint par les Smashing Pumpkins avec Zeitgeist : 12 versions (4 morceaux bonus, livret collector, DVD et pochettes de couleurs différentes)

Sérieux, qui achèterait 12 versions différentes du même album ??...
Bon, ok, moi, si c'était Phish... Pour Joy, j'ai acheté l'album trois fois mais dans des versions biens différentes : CD standard (digipack), Vinyl et Joy Box.

Aucune version tue l'achat (reprise)

Par la suite, Billy Corgan est tombé dans l'excès inverse : pas de sortie physique pour l'album suivant, chaque morceau étant distribué gratuitement sur le site Internet au fil de l'eau, juste après son enregistrement. D'après lui, la façon d'écouter de la musique a évolué et "personne n'écoute plus d'album en entier, juste une chanson par-ci par là" (je ne retrouve pas la source de la citation par contre). Je dois être un vieux con parce que justement je n'écoute pas de chanson hors de son album... C'est d'ailleurs pour ça que je n'ai quasiment pas écouté les 3 morceaux de Teargarden by Kaleidyscope sorties jusqu'à présent... Mais il s'est visiblement rendu compte de son erreur (ou que son banquier allait lui tirer les oreilles), car les 44 chansons sortiront finalement sous la forme de 11 EP (des maxi-single en gros) en version limitée (pour le premier, boitier en bois avec un CD 4 titres, un 45 tours avec une chanson bonus et un mini-obelisque taillé à la main,30$) qui seront par la suite regroupés dans un coffret avec des version différentes des EP, voire en version numérique avec des versions demos... la boucle est bouclée !
Ce qui me fait chier dans l'histoire, c'est qu'avec ma collectionnite aiguë, je suis capable de craquer juste parce que l'objet est beau...

Plus d'achat, plus de musique

N'empèche que tous ces points ne font malheureusement que d'apporter de l'eau au moulin des pirates et c'est bien dommage. Je ne suis même pas sûr que les artistes et les maisons de disque vendent plus d'exemplaire au final. Car la proportion de fan qui achèteront plusieurs fois sera minime par rapport à ceux que la démarche dégouteront et pirateront l'album en conséquence (ou avec une excuse toute trouvée).

Et c'est toujours la création qui en paie les frais au final. La preuve : jamais je n'ai parlé de la musique en elle-même dans cet article...

Musique florale

par Yome NetSan @ 9 avril 2010

Flower.pngOn reste dans la musique avec celle de Flower, l'expression vidéoludique d'un poème. Le jeu est sorti l'année dernière au moment de la Saint Valentin (ou comment offrir des fleurs numériques).

La bande originale avait été annoncé pour hier sur le Playstation Store. Visiblement, il est plus difficile de diffuser des mp3 en Europe qu'aux Etats-Unis car elle n'est finalement disponible que sur le store US pour 2,99$ (environ 2,30€). Je suspecte leur problème technique d'être lié au fait que, pour une fois, le prix européen est plus petit que le prix américain (1,99€ seulement). Ils ont dû avoir peur que tout le monde vienne le prendre chez nous, comme on ne se prive pas de le faire dans l'autre sens.

Mais bon, comme j'attendais cette BO depuis ma première partie, j'ai foncé sur le store US ce matin pour la récupérer. 2,30€ pour 8 pistes et plus d'une heure de musique (donc plus de 7min 30 de moyenne par piste, on est à l'extrême des 30 secondes de Sadness). Rien que pour ça, ça ne se refuse pas !
Voici la liste des pistes avec la première en écoute parce que je suis sympa.

  1. Life as a Flower (5:43)
  2. Splash of Color (9:15)
  3. Sailing on the Wind (7:30)
  4. Nighttime Excursion (5:35)
  5. Solitary Wasteland (11:39)
  6. Purification of the City (12:20)
  7. Peaceful Repose (9:23)
  8. Lazy Daydream (3:06)

Voici ce qu'a écrit Vincent Diamante, le compositeur, sur le blog officiel Playstation :

Looking back, a year-plus removed from working on Flower, it’s hard for me to remember anything but wonderful times with Sony and thatgamecompany. Then I think a bit harder and remember: the fights. Not fights amongst us developers, no. Besides, that comes part and parcel in the process of game development. Rather, the fights happened within the music. All-out brawls between themes, lines, instruments, harmonies as the music struggled to find identity when Flower was just this bud of a game.

Ostensibly, I was the one in control, penning each note in my music synthesizer as environment after environment demanded score. Not just any score, though; an ambitious score where the number of instruments present in the music ultimately dictated a different perspective on the game. From that simple directive, I codified a way of writing the music that would result in the interactive score I dreamt of.

In the beginning, however, there was nothing but fights. Instruments weren’t just masking or overshadowing their orchestral mates, they were outright demolishing them. French horns knocking bassoons to the floor, violins contorting cello lines, trumpets trampling over pianos. When I first started working on the music for Flower, I saw myself as being much like a conductor, gently urging sections of the orchestra into the space needed to fit the game. Instead, I felt like I had brought a conductor’s baton to a knife fight.

And then I started playing the game. And playing it. And playing it some more. I believe there were a few days in that year of working on Flower when I drove over to thatgamecompany and “worked” by playing the game for eight hours straight. Yes, I was having fun with the game, but I was also meditating, internalizing the rhythm, shape, and color of the world.

And somewhere in the process, I started writing Flower. There was no real struggle; just, suddenly, it didn’t feel like work to pen line after line of music. Each instrument in the score seemed to love each other, raising each other up even as they were added to the increasingly complex mix. Looking back on it, I can see exactly what changed in my approach to the music.

At the time, though, it all just felt magical.

It’s nice, now, playing Flower as just another player, reliving those bits of magic. That amazing exhale when you leave the canyon in the wind level. The drive that pushes you through a darkened city. The serenity of night that accompanies the post-game credits.

And while those magical parts were carefully composed and scripted for effect, the parts where the computer dictates the order of notes for a flower’s melody continue to floor me.

I remember one time, while playing the color level, a series of flowers set before the beginning of the third section of music played a melody so full of longing that I had to drop the controller to catch my breath.

When people speak of game development, they often describe it as a process of discovery. Though I’ve worked on video game scores before Flower, working closely with Sony and thatgamecompany was probably the best experience I ever had writing music. The music, ostensibly coming from me, seemed to keep on revealing itself to us from everywhere in the development. From level design, art, and mechanics to little things like the time needed to load a level and even the heft of the Dualshock 3; all of these had such an impact on the music composition that I couldn’t help but feel joy that the music was springing up from some space beyond myself.

And here I am, a little more than a year later thinking: I can’t wait to take part in that experience once again.

The Dark Side of the NES

par Yome NetSan @ 8 avril 2010

The Dark Side of the Moon, l'album mythique de Pink Floyd, joué à la NES !

C'est écoutable en entier sur Youtube et téléchargeable sur le site de l'auteur :
http://rainwarrior.ca/music/moon8.html

 

Ca fera patienter en attendant la BO de Flower qui aurait dû arriver aujourd'hui...

New York détruite par des Pixels

par Caribou @ 8 avril 2010

La vidéo a été créée par Patrick Jean. Un petit frenchie travaillant pour la boite parisienne d'effets spéciaux One More production.

Enjoy !


PIXELS by PATRICK JEAN.


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